Charlevoix, réserve mondiale de la biosphère

Dans une centaine de pays à travers le monde entier, on dénombre environ 400 sites reconnus comme étant des Réserves mondiales de la Biosphère, elles sont au compte de seulement onze au Canada et de trois au Québec, dont Charlevoix. C’est en 1988 que l’Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) a reconnu le territoire de Charlevoix comme étant une réserve de la biosphère. Sa géomorphologie unique, son savoir-faire traditionnel, son terroir et la beauté de ses paysages sont au nombre des caractéristiques qui lui ont permis d’acquérir cette reconnaissance internationale de région d’exception. De partout à travers le monde, l’objectif principal des réserves de la biosphère consiste à éduquer en plus de développer la connaissance scientifique et la gestion des ressources naturelles et leur protection.

Notre principale intéressée, la région charlevoisienne, compte plusieurs sites naturels remarquables et éducatifs. Elle se démarque notamment grâce à ses aires centrales dont le Parc national des Grands-Jardins et sa présence de taïga, le Parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie et ses paysages dignes des forces de la nature ainsi que le Centre écologique de Port-au-Saumon et ses incroyables écosystèmes marins. Charlevoix est l’une des premières réserves habitées au Canada puisque son territoire englobe une grande majorité des villages présents d’ouest en est.

Saviez-vous qu’il existe des collections artisanales propres et identitaires à la réserve de la biosphère de Charlevoix? Les Collections de la biosphère visent à sensibiliser au patrimoine naturel de Charlevoix en plus de promouvoir les métiers d’art sous quatre grands thèmes; la terre, le fleuve, les prés et la forêt. De vrais petits trésors!

Bonnes découvertes!